l'Etat-major grec prévient d'un séisme imminent, coupable : HAARP....
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La Grèce est menacée indirectement par l'Institut International de la Finance, porte-voix des plus grosses banques du monde, par le FMI, l'Union européenne, par la tristement célèbre agence de notation Fitch, ainsi que par d'autres subalternes, lesquels parlent d'instabilité du marché européen, de son probable écroulement, de sa viabilité fragile qui devrait rendre bientôt l'âme. Des menaces à peine déguisées pour faire pression sur les pays européens pour qu'à leur tour ceux-ci fassent pression sur la Grèce. Ils ont peur des conséquences dramatiques, ils n'ont plus aucune indépendance politique et encore moins économique, alors un sentiment d'admiration en eux se mêle à une peur incoercible face à des grecs qui ont le courage de dire non au démantèlement de leur pays, à son rachat par des privés, ils ne veulent plus entendre parler de créanciers qui ont perdu la tête avec des taux d'intérêts impossibles. La Grèce dit non, elle a choisit la liberté et le retour à son indépendance, ce qui constitue son droit le plus fondamental. On hait la Grèce et on l'admire. Des pulsions de vie et de mort se tournent vers elle, nexus de plusieurs futurs possibles.
La Grèce, berceau de la civilisation occidentale, là où sont nés les dieux de l'Europe, la philosophie, la démocratie, les arts, sous un soleil éternel, cette Méditerranée qui dort depuis l'aube des temps et qui fait rêver les hommes, ici et maintenant, l'avenir de l'Europe va se jouer, soit l'euro meurt et les peuples sont sauvés, soit la dictature mondialiste des Illuminatis gagnent et s'en est finit de nous.
La Grèce veut rassurer le marché européen en venant d'indiquer que le référendum ne portera que sur le plan d'aide européen, et non sur une possible sortie de l'euro. Sarkozy a rappelé dans son discours d'hier soir que le plan d'aide européen est "la seule voie possible", qu'il "est toujours légitime de demander son avis au peuple", mais que la décision revient aux autres "Etats membres", autrement dit il est interdit pour un pays de quitter la zone euro, la dictature européenne, depuis ces dernières 48 heures, est en train de montrer son vrai visage, un visage inquiétant et fasciste.
Un correspondant grec travaillant pour To Vima vient de nous annoncer à l'instant que l'Etat-major grec se prépare à un séisme imminent en Grèce sans précédent, qui serait une attaque des américains, lesquels vont utiliser leur arme appelé HAARP pour frapper la Grèce récalcitrante. Le séisme sera profond de 20 km, et sera de magnitude 8, voir plus. Les américains vont réitérer un nouveau massacre, comme le séisme de janvier 2010 à Haïti, qui fit 230 000 morts, 300 000 blessés et 1,2 million de sans-abris. ainsi, le gouvernement grec sera "obligé" d'accepter l'aide du FMI et l'intervention dans le pays de l'ONU. Le plan d'aide européen s'imposera d'un seul coup, et ainsi le problème grec ne sera plus qu'un mauvais souvenir. Mais que va-t-il se passer si l'armée grecque refuse l'aide internationale ? Il faut surveiller le ciel car si des lueurs vertes ou bleues apparaissent, il faut vite que les citoyens grecs sur place se préparent, car ce seront les signes du séisme imminent. Puisque HAARP agit sur la ionosphère pour frapper par résonance magnétique un point géologique précis. A chaque fois que HAARP a frappé, des lueurs vertes ou bleues ont été aperçues.
Les mondialistes ne laisseront pas la Grèce sortir de l'euro. Si la Grèce sort, elle pourra taxer tous les produits qui entrent dans le marché européen, étant la plus importante porte d'entrée du marché européen avec ses ports dont celui de Pyrée, ce qui va rendre les chinois furieux puisque ces derniers ont acheter entièrement le port de Pyrée, elle, la grèce, rembourserait sa dette rapidement et deviendrait puissante. Alors que les économistes qui depuis 48 heures se succèdent sur les chaines de télévision et à la radio, martèlent dans le cerveau des gens que la Grèce sortant de l'euro ne pourrait pas rembourser sa dette, que sa seule source de revenus serait le tourisme, et que le référendum n'a pas être donné au peuple pour des questions concernant l'économie, parce-qu'un peuple, comprenez bien, est stupide. L'économie ce n'est pas sorcier, mais on veut penser pour vous et tout faire pour que personne ne comprenne ce qui se passe. Nous sommes dans une dictature qui ne dit pas son nom, il faut soutenir le peuple grec avant qu'il ne soit trop tard. C'est notre liberté à tous qui se joue ici. Maintenant vous comprenez que si la Grèce sort de la zone euro, cela profitera au peuple grec, mais certainement pas aux banques privées et aux multinationales dont les produits seront taxés ce qui leurs feraient perdre de l'argent, un argent qu'ils volent déjà aux peuples d'Europe et du Tiers-monde.
Damiens Lanxade pour Wikistrike

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