Alerte aux nano-particules dans les vaccins
J'ai
choisi de traduire cet article récent de Jon Rappoport, car l'étude
concerne des vaccins utilisés en France et en Italie. Les auteurs de
l'étude sont italiens. Sur le lien donné, vous avez la liste des
vaccins-poisons qu'on injecte aux gens. Qu'en sera-t-il du futur
vaccin pour le virus inexistant ?
Étude inédite : Les dangereuses nano-particules qui
contaminent de nombreux vaccins
Par Jon Rappoport
Les vaccins sont largement contaminés par diverses nano-particules.
Un bon nombre de ces particules sont des métaux.
Nous parlons ici des vaccins traditionnels, tels que ceux contre le HPV (papillomavirus), la grippe, l'hépatite B, la rougeole, l'ensemble diphtérie-tétanos-polio, etc.
Pour avoir un aperçu des effets destructifs des nano-particules contaminant les vaccins, voici l'étude inédite de 2017 :
Journal International des Vaccins et de la Vaccination Volume 4, première édition
23 janvier 2017
Nouvelles recherches sur le contrôle de qualité des vaccins : micro et nano-contamination.
Par Antonietta M. Gatti and Stefano Montanari
https://medcraveonline.com/IJVV/new-quality-control-investigations-on-vaccines-micro--and-nanocontamination.html
"Les analyses effectuées montrent que tous les échantillons de vaccins contiennent des corps étrangers non biocompatibles et bio-persistants, non déclarés par les fabricants et contre lesquels le corps réagit dans tous les cas. Cette récente investigation constitue un nouveau contrôle de qualité qu'on peut adopter pour les expertises de sécurité des vaccins. Notre hypothèse est que cette contamination n'est pas intentionnelle, qu'elle est probablement due à des composés polluants ou aux procédures de fabrication industrielle (par ex, filtrations) utilisées dans la fabrication des vaccins..."Les auteurs de l'étude laisseraient-ils une porte ouverte vers la possibilité que la contamination soit intentionnelle ?
"La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leur composition chimique inhabituelle, nous ont laissé très perplexes. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles, ni biodégradables, elles sont donc bio-persistantes et peuvent entrainer des effets se révélant soit immédiatement après l'injection soit au bout d'un certain temps. Il est important de se souvenir que les particules (des cristaux et non des molécules) sont des corps étrangers à l'organisme et qu'elles se comportent en tant que telles. Leur toxicité en particulier est par certains aspects différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ce qui ajoute à leur toxicité… elles induisent une réponse inflammatoire."
"Après injection, ces micro-particules, nano-particules et agrégats peuvent subsister autour du point d'injection et générer une tuméfaction et des granulomes… Mais ils peuvent aussi être entrainés dans la circulation sanguine en échappant à toute tentative d'identifier leur destination finale… Comme pour tous les corps étrangers, les plus petits en particulier, ils induisent une réaction inflammatoire chronique car la plupart de ces particules ne peuvent être dégradées. Par ailleurs, l'effet de "couronne protéique"… due à l'interaction nano-bio… peut produire des particules composites organiques/inorganiques capables de stimuler le système immunitaire de manière indésirable… Il est impossible de ne pas mentionner que les particules de la taille souvent observées dans les vaccins peuvent pénétrer dans le noyau de la cellule et interagir avec l'ADN..."
"Dans certains cas, par exemple dans le cas du fer et des alliages ferriques, ils peuvent se corroder et la corrosion exerce une toxicité affectant les tissus..."
"Étant données les contaminations observées dans tous les échantillons de vaccins à usage humain, des effets secondaires après injection de ces vaccins sont possibles et crédibles et ils possèdent un caractère aléatoire, car ils dépendant du lieu où sont charriés les contaminants via la circulation sanguine. Il est tout à fait évident que des quantités similaires de ces corps étrangers ont un impact plus sérieux sur un jeune organisme comme celui des enfants. Leur présence dans les muscles… peut handicaper lourdement la fonction musculaire..."
"En étudiant les cas de contamination environnementale causée par différentes sources de pollution, nous avons découvert des particules aux compositions chimiques semblables à celles rencontrées dans les vaccins analysés. Dans une majorité de circonstances, les combinaisons détectées sont étranges car elles n'ont pas de rôle technique, n'apparaissent dans aucune nomenclature officielle et font penser à ce qui résulte d'une formation aléatoire survenant par exemple dans l'incinération de déchets. Quelle que soit leur origine, ils devraient en tout cas ne jamais apparaitre dans un quelconque médicament injectable, sans parler des vaccins, en particulier ceux destinés aux enfants."Cette étude de 2017 ouvre un tout nouveau champ de recherche : celui concernant les nano-particules inattendues des vaccins.
De telles particules ne sont pas de la médecine quel que soit le sens du mot.
De nombreux "experts" légaux et scientifiques affirment que l'État a le droit de rendre les vaccins obligatoires et de les injecter de force à la population. Mais ces nano-particules contaminantes ne sont ni des vaccins ni des médicaments. Seul un fou défendrait le droit d'un État à les injecter.
Voici un autre paragraphe de l'étude de 2017. Y sont indiqués les noms des vaccins et la composition des nano-particules. Inspirez un bon coup et attachez vos ceintures :
"… la présence complémentaire de corps étrangers micro-, infra-micro et de taille nanométrique (allant de 100 nanomètres à environ 10 microns) a été identifiée dans tous les cas [l'ensemble des 44 vaccins], présence non déclarée dans les dépliants se trouvant dans les emballages des produits..." [le nanomètre (nm) est égal à un milliardième de mètre]
"… des particules isolées, des groupes de micro- et nano-particules (moins de 100 nm) et des agrégats… des débris d'aluminium, de silicone, de magnésium et de titane ; des particules de fer, de chrome, de silicone et de calcium… arrangées en agglomérat et des débris d'aluminium et cuivre… en agrégat."
"… les particules sont enveloppées et incrustées dans un substrat biologique. Dans tous les échantillons analysés, nous avons identifié des particules contenant : du plomb (Typhym, Cervarix, Agrippal S1, Meningitec, Gardasil) ou de l'acier inoxydable (Mencevax, Infarix Hexa, Cervarix, Anatetall, Focetria, Agrippal S1, Menveo, Prevenar 13, Meningitec, Vaxigrip, Stamaril Pasteur, Repevax et MMRvaxPro, vaccin contre la rougeole)."
"… des particules de tungstène identifiées dans des gouttes de Prevenar et d'Infarix (aluminium, tungstène, chlorure de calcium)."
“…des débris singuliers trouvés dans Repevax (silicone, or, argent) et Gardasil (zirconium)."
"Des particules métalliques de tungstène ou d'acier inoxydable ont été également identifiées. D'autres particules contenant du zirconium, du hafnium, du strontium et de l'aluminium (Vivotif, Meningetec) ; du tungstène, du nickel, du fer (Priorix, Meningetec) ; de l'antimoine (kit Menjugate) ; du chrome (Meningetec) ; de l'or, du zinc (Infarix Hexa, Repevax) ou du platine, de l'argent, du bismuth, du fer, du chrome (MMRvaxPro) ou du plomb, du bismuth (Gardasil) ou du cérium (Agrippal S1) ont été aussi découverts. Le tungstène apparaît à lui tout seul dans 8 vaccins sur 44, alors que le chrome (seul ou allié à du fer et du nickel) apparaît dans 25 des 44 vaccins. Les investigations ont révélé que des particules sont incluses dans un substrat biologique, probablement des protéines, des endo-toxines et des résidus de bactéries. Dès qu'une particule vient au contact des liquides protéiques, il se produit une interaction nano-bio… et une "couronne protéique" se forme… l'interaction nano-bio génère un composé de plus grande taille non biodégradable et peut induire des effets secondaires préjudiciables, car il n'est pas reconnu comme appartenant au corps."
"… des exemples de ces interactions nano-bio. On peut voir des agrégats (entités composites stables) contenant des particules de plomb dans Meningitec… d'acier inoxydable (fer, chrome et nickel) et de cuivre, zinc et plomb dans Cervarix… ce type d'agrégat, bien que dans différentes situations (patients souffrant de leucémie ou de cryoglobulinémie [= présence anormale de protéines dans le sang]) a déjà été décrit dans la littérature."Je suis sûr que vous avez lu les garanties officielles décrétant que les problèmes de fabrication des vaccins sont "rares". Vous pouvez ranger ces déclarations avec les autres mensonges médicaux.
"Je veux bien un sandwich aux métaux lourds, s'il vous plaît. Et au lieu de le servir sur assiette, pouvez-vous l'injecter ?"
Plusieurs questions vitales surgissant des découvertes de cette étude de 2017 demandent réponse :
Certaines de ces particules sont-elles introduites intentionnellement dans les vaccins ?
Le procédé de fabrication standard des vaccins traditionnels conduit-il INÉVITABLEMENT à une dangereuse et destructrice nano-contamination ?
La récente nano-technologie est déjà employée pour créer plusieurs vaccins – pour soi-disant "améliorer son efficacité". En fait, le vaccin COVID-19 pourrait être d'un type "nano". Ce procédé de fabrication implique-t-il un inévitable effet de déferlement de nano-particules contaminantes ?
Combien de cas de dommages cérébraux et d'autisme chez les enfants peut-on imputer à la contamination par nano-particule ?
Et enfin, où sont fabriqués ces vaccins contaminés ? L'étude ci-dessus n'a pas tenté de le découvrir. C'était en dehors du champ d'étude. Il est bien connu que, par exemple dans le cas des US, les vaccins ou leurs composants, sont, dans bien des cas, non produits dans le pays. Et quid du contrôle de sécurité ? Serait-ce en Chine, où maints scandales pharmaceutiques concernent une contamination des produits ?
Pour l'institution vaccinale, répondre à l'une ou l'autre de ces questions est bien le cadet de leurs soucis. Ils passent leur temps à faire semblant que les questions n'existent pas.
Faire confiance à cette institution serait suicidaire.
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