Faits en matière de vaccination

Jagannath Chatterjee

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      Il n'y a pas si longtemps, en Inde, les nouveau-nés étaient accueillis au son des conques, avec des chants et de l'amour. De nos jours, ils sont accueillis avec deux vaccins par injections et un par gouttes.

Gaia Health Blog, Jagannath Chatterjee

 

      À une époque pas si lointaine, quand les familles indiennes avaient un bébé, il était accueilli au son des conques, avec des chants folkloriques féminins et l’amour sans mélange de sa mère. Aujourd'hui, le malheureux nouveau-né est accueilli par deux injections de vaccins, BCG et contre l'hépatite B, et deux gouttes de vaccin antipoliomyélitique oral, à ingurgiter à la naissance. D’autres injections toxiques de ce genre s’enchainent tout au long de l'enfance et de la jeunesse. Les parents s’y plient de bonne foi, sans mettre en question les avantages et les inconvénients de ce genre de démarche. Les vaccins sont perçus comme étayés par de la science juste. Ils sont perçus surs et protecteurs des maladies. Que le processus vaccinal entier n'ait jamais passé le test décisif de la science produirait comme un choc. Le corps médical a toujours su que les vaccins ne sont pas surs ; leurs ingrédients toxiques font en sorte qu'ils peuvent entrainer la mort, des maladies chroniques et de graves handicaps. Les statistiques médicales montrent que des maladies soi-disant réduites par les vaccins avaient baissé de 90% du fait de mesures de santé publique, avant que leurs vaccins spécifiques n’aient été introduits.

 

      Nous avons été amenés à croire que la variole a été éradiquée par la vaccination. Or, comme le signala le Dr R.P. Garrow dans le British Medical Journal du 14 janvier 1928, c’est la vaccination qui fut à l'origine d’une grande poussée de variole dans les régions où elle fut largement pratiquée. Et quand le taux de vaccination baissa, l'incidence de la maladie chuta proportionnellement. Il constata aussi que la personne vaccinée est cinq fois plus susceptible de mourir de la maladie que la non vaccinée. Ce nouveau phénomène fut aussi remarqué dans les villes indiennes appelées à l’époque Bombay et Calcutta, et le Mahatma Gandhi critiqua publiquement le vaccin. À Manille, les médecins constatèrent une augmentation alarmante des cas de cette maladie et de la mortalité après l’administration en masse du vaccin. Il apparut graduellement que c'était ainsi dans toutes les régions du monde où la vaccination avait été mise en œuvre, sur préconisation de l'OMS, laquelle gonfla le chiffre de 131.000 cas de maladie déclarés à 15 millions pour justifier le fait qu’elle se propageât.

 

      En 1987, comme le signalèrent le Times de Londres et The Telegraph en Inde, un conseiller de l'OMS laissa sa conclusion s’ébruiter dans la presse. Selon lui, le vaccin, préparé sur des cellules de rein de singes, avait déclenché l'épidémie de SIDA en Afrique. L'émergence de la variole du singe en Afrique a conduit des scientifiques à affirmer que la variole est de retour. La famille Orthopox, à laquelle appartient la variole, intègre de nombreux autres virus capables de provoquer des symptômes similaires. En outre, il reste toujours des stocks de virus varioliques en Zunie et en Russie, et des expériences de laboratoire ont fait des morts. La variole est susceptible de revenir sous la forme d’une arme de bioterrorisme. Qu’a-t-on donc éradiqué ?

 

 

      Cette année, l'Inde a célébré sa délivrance de la poliomyélite, malgré de sérieuses questions posées. Les médecins de l'IMA ont depuis 2006 prévenu le public que le vaccin antipoliomyélitique oral est lui-même à l'origine de la poliomyélite, et le Dr S.K. Mittal de l'IMA a avancé le chiffre de 500 à 600 cas par an. On a rapidement signalé que l'un des virus vaccinaux en circulation était devenu virulent et provoquait la paralysie. Testée illégalement en Inde, une version du vaccin antipoliomyélitique oral a entrainé une nouvelle multiplication du nombre de cas. On a aussi rapporté que les cas de paralysie flasque aigue sont montés en flèche après l'introduction du vaccin. Le Dr Omesh Bharati de la JSA a signalé 128.375 cas jusqu'en 2006. Depuis lors, plus de 40.000 cas ont été recensés chaque année, le bilan de 2011 étant 47.500, cela donne environ 200.000 cas supplémentaires ! Le Dr. Jacob Puliyel et le Dr C. Sathyamala ont obtenu, grâce à la loi sur la liberté de l’information, des données qui ont révélé qu'une partie importante de ces enfants sont devenus paralysés définitivement.

 

      Le Gouvernement indien reste inébranlable sur la question et dit que ce ne sont pas des cas de polio puisque l'entérovirus n'a pas été découvert chez eux, mais il n'a pas d'explication rationnelle en ce qui concerne pourquoi ces cas se multiplient après l'introduction du vaccin. De nouveau, ce phénomène ne se limite pas à l'Inde, mais a aussi été signalé en Ouganda et au Pakistan. Entre parenthèses, ce vaccin a été interdit dans les pays développés à cause de sa propension à provoquer la polio, un fait reconnu par Sabin, son fabricant. Il a aussi été lié à la leucémie, à des cancers et des tumeurs chez les enfants. Une fois de plus, les médecins ont reporté la responsabilité sur l'OMS, car elle a gonflé les 32.419 cas de poliomyélite au niveau mondial à 350.000 pour déchainer ce monstrueux vaccin sur les enfants innocents. Des experts en santé publique ont émis l'avis que, puisque la poliomyélite est due à l'absence de ces facteurs, l'eau potable, les installations sanitaires et la nutrition, auraient pu freiner efficacement sa propagation chez les enfants, au lieu de gaspiller criminellement des milliards de dollars de l'argent du contribuable pour un vaccin qui propage la paralysie chez les enfants.

 

      Passons à présent au vaccin DTC (diphtérie, tétanos et coqueluche) qui fait partie du calendrier vaccinal du gouvernement de l'Inde. Cette vaccination a été largement condamnée pour sa propension à occasionner des décès et des incapacités chez les enfants. Dès 1933, ce vaccin fut lié par le Dr Madsen à des morts d’enfants. En 1947, le Dr Brody l’associa à des lésions cérébrales. Une étude de 1948, du Dr Byers et autres, le lia à la mort, à la cécité, à la surdité, à la spasticité, à des convulsions et d'autres troubles neurologiques graves. En 1943, peu de temps après l’introduction de ce vaccin, le psychiatre Leo Kanner détecta de l’autisme chez des enfants. Étude après étude, le vaccin fut aussi lié à l'asthme, à la poliomyélite, à l'hyperactivité et à des troubles d'apprentissage chez les enfants. Enfin, la reconnaissance publique de culpabilité par d’éminents immunologistes, lors d’une émission de télévision zunienne diffusée en 1982, où ils disaient que les enfants se transformaient en légumes après avoir été vaccinés, a finalement conduit à l’abandon de ce vaccin dans les pays développés. Mais la vaccination DTC se poursuit en Inde et la fréquence inexplicable des décès et le nombre sans cesse croissant de tous les troubles mentionnés ci-dessus chez les petits indiens indique le pire.

 

      La vaccination BCG, contestée par C. Rajagopalachari, fut testée à grande échelle en Inde de 1969 à 1984. Avec les études ultérieures, il fut prouvé au-delà du doute que ce vaccin était efficace à zéro pour cent et que la tuberculose dans la population vaccinée était un peu plus fréquente que dans la population non vaccinée. Même les scientifiques médicaux se demandent pourquoi on maintient cette vaccination ! Le vaccin ROR (rougeole, oreillons et rubéole) a fait partout l’objet de controverses acharnées pour son manque d'efficacité et ses effets indésirables graves. Le vaccin contre l'hépatite B est en fait destiné aux personnes aux mœurs légères et aux toxicomanes ; son administration à des enfants défie toute logique. Le vaccin Hib s’oppose à une maladie qui a été produite en réalité par le vaccin associé, qui a fait baisser l'immunité chez les enfants en rendant virulente une bactérie inoffensive. Le vaccin contre le rotavirus a été associé à l’obstruction intestinale. Le vaccin pentavalent a fait des morts partout où il a été introduit ; il a déjà été associé à six morts en Inde, dans les États du Kerala et de l'Andhra Pradesh.

 

      Alors pourquoi continuer à vacciner ? L'industrie du vaccin, les institutions « philanthropiques », les organismes médicaux et les simples médecins en profitent. Les représentants du gouvernement et les hommes politiques qui en font la réclame, arbitrairement et vigoureusement, en tirent des avantages. Les vaccins favorisent les maladies chroniques et les handicaps, et cela aide l'industrie médicale à pérenniser son emprise sur la société qui ne se doute de rien.

 

      La présence de produits chimiques dans les vaccins, comme le mercure, l’antigel, le polysorbate 80, le borax et le squalène, qui ont des effets défavorables sur la reproduction, a fait se demander à des chercheurs s’ils sont devenus une méthode secrète de contrôle de la population. Des médecins et des experts en santé publique ont averti que la montée des investissements dans les vaccins écarte des fonds précieux des mesures saines, comme l'eau potable, les réseaux d'assainissement (égouts), l'hygiène et la nutrition. L'humeur générale est aujourd'hui nettement opposée aux vaccins et en faveur de la salubrité ; un mouvement qui alarme ceux qui encouragent pour leur profit personnel et d'autres ordres du jour ce moyen fort controversé. Il est temps de protéger les enfants innocents de ceux qui ont laissé tomber le professionnalisme et l'éthique médicale.

 

Source : gaia-health.com/gaia-blog/2012-08-25/vaccinations-facts-of-the-matter/

 

Traduction copyleft de Pétrus Lombard

 

http://www.alterinfo.net

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